Winter Camp (Chris Garneau + Botibol + Mein Sohn William)

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Troisième soirée du Festival Winter Camp

CHRIS GARNEAU

En 2007, Music For Tourists, le premier album de Chris Garneau, avait permis de révéler une pop de chambre fragile et délicate, dont les accents les plus dramatiques avaient suscité des comparaisons avec Sufjan Stevens et Elliott Smith.  Puis El Radio fut enregistré dans la foulée de sa première vraie tournée. El Radio est le disque d’un songwriter en pleine expansion. Des titres aussi brillants que “Hands On The Radio” ou “Fireflies” indiquent que Chris Garneau s’est réconcilié avec le monde extérieur pour laisser sa pop grandir dans des proportions tout à fait inattendues. Une vraie confirmation.

Chris Garneau prépare aujourd’hui son troisième album depuis une ferme perdue aux abords de New York… Nouveaux titres à découvrir en exclusivité au Winter Camp Festival!

BOTIBOL 
Après un premier album salué par la critique (« Born from a Shore », Février 2011), le label Hiphiphip est fier d’annoncer « The Wild Cruises » de Botibol : quatre titres intenses et lumineux qui amorcent la consécration d’un des groupes les plus excitants de la scène hexagonale, emmené par Vincent Bestaven, impeccable et inspiré. Cuivres aériens, guitares constellées et voix venues dʼailleurs confèrent à « The Wild Cruises » une couleur rare, surréaliste, soutenue par la mise en ambiance magnifique de Cyrille Gachet (à qui on doit l’excellent « Ausserwelt » de Year of no light) et le mastering tout en nuance d’Alan Douches (Kurt Vile, Beach House, Akron Family…). Confirmation virtuose et trait d’union distingué un prochain LP est prévu pour février 2013.

 

MEIN SOHN WILLIAM
A bien des égards, le rennais Mein Sohn William, alias Dorian Taburet, est un artiste singulier. D’une part parce qu’il exécute à lui seul le travail d’au moins trois musiciens et d’autre part parce que sa créativité, sa folie et son dynamisme sont sans limite. Mein Sohn William ne ressemble pas à grand chose de connu… des morceaux farfelus, souvent imprévisibles et addictifs. Dorian parcourt la France avec sa guitare (déjà bien usée), ses pédales de sample et sa voix (tantôt celle d’un conteur halluciné tantôt celle d’un chanteur habité). Et ceux qui ont croisé son chemin s’en souviennent encore, dixit les planches et le buzz provoqué par le soutien des Transmusicales. Ici d’Ailleurs vous propose aujourd’hui de découvrir le premier album entêtant, mêlant fougue et sensibilité mélodique. http://meinsohnwilliam.bandcamp.com/


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