Days Off 2014

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Évènement passé

Pour sa cinquième édition, le festival reviendra du 1er au 10 juillet 2014 à la Cité de la musique et à la Salle Pleyel. L’occasion de voir toujours une programmation de qualité dans des salles au son impeccable.

Pour cette édition, Etienne Daho a carte blanche. Après le succès de son album Les Chansons de l’innocence retrouvée, Étienne Daho est l’invité d’honneur du festival Days Off. Pour son grand retour à la scène, Étienne Daho a concocté un programme qui célèbre une certaine vision de la pop hexagonale, moderne, libre, à la jeunesse éternelle.

 

Mardi 1er juillet :  Etienne Daho / Yan Wagner

C’est son album phare, Pop Satori, qu’Étienne Daho a choisi de jouer en intégralité pour ouvrir cette nouvelle édition du Festival Days Off, dont il est l’invité d’honneur. Un album qui, à sa sortie en 1986, allait donner des couleurs radieuses à la pop française, augurant la prestigieuse carrière musicale de son auteur. Une soirée pleine de souvenir, mais sans nostalgie aucune, au contraire tournée vers l’avenir.

Mercredi 2 juillet : Timber Timbre / M Ward

Avec Hot Dreams, les canadiens de Timber Timbre s’amusent avec notre imagination, alternant univers onirique et menace de danger imminent. On se délecte de la voix feutrée et de la plume aiguisée de Taylor Kirk. Un live à ne pas manquer !

Samedi 5 juillet : Etienne Daho / Verity Susman

Étienne Daho profitera de la deuxième date de sa carte blanche Une jeunesse moderne pour nous faire entendre un best of des chansons qui ont jalonné son parcours exceptionnel dans l’histoire de la pop française. If, Week-end à Rome, Comme un Boomerang… on ne compte plus les tubes qui ont durablement marqué l’esprit des auditeurs, depuis le début des années 80 jusqu’à la récente parution de ses Chansons de l’innocence retrouvée. Autant dire que le retour à la scène du chanteur annonce une soirée aussi réjouissante que mémorable !

Dimanche 6 juillet : Pierre Lapointe / Rufus Wainwright

D’opéras en veloutés jazz, de ballades romantiques en hits pop, le talentueux Rufus Wainwright essaye tout et impose chaque fois sa maîtrise vocale unique. Un concert qui s’annonce captivant !

https://www.youtube.com/watch?v=1Sm7jPLANFg#aid

Lundi 7 juillet : Gonzales

À l’occasion de la sortie de son nouveau livre-album, Re-Introduction Etudes, le performeur de génie, alias Chilly Gonzales, choisit le festival Days Off pour une unique masterclass ! Fasciné par Brahms, Mahler ou Dvořák et s’affranchissant des genres et des règles, il peaufine son incroyable don de transmission de la pratique du piano et de l’interaction avec son public.
Une heure avec Chilly Gonzales dans l’Amphithéâtre, c’est bien simple, il n’y en aura pas pour tout le monde !

https://www.youtube.com/watch?v=PVyijecE6I4

Lundi 7 juillet : Ana Calvi / Daughter

Performeuse à la voix suave et à la grâce magnétique, Anna Calvi délivre un rock tourmenté et haletant. Mieux vaut être prévenu : on ne sortira pas indemne de ce spectacle.

Mardi 8 juillet : Tombés pour la France

Tombés pour la France, c’est le titre d’un single d’Étienne Daho paru en 1985. La chanson était accompagnée par un clip signé Jean-Pierre Jeunet, qui s’ouvrait et se fermait sur l’image nostalgique d’un Paris enclos dans une boule de neige… Pas de nostalgie toutefois pour ce concert, auquel sont conviées plusieurs générations d’artistes, soigneusement sélectionnés par l’icône Daho : Dominique A, Lou Doillon, mais aussi Lescop, La Femme ou encore Frànçois & The Atlas Mountains. Des profils d’exception qui célèbreront, à leur manière, une certaine pop à la française.

Mercredi 9 juillet : Damon Albarn

Blur, Gorillaz, The Good, the Bad and the Queen… autant de groupes illustres qui magnifient le parcours hors norme de ce musicien anglais de génie. Réputé pour ses collaborations avec l’enchanteur afrobeat Tony Allen, le collectif musical Africa Express et pour avoir co-écrit et co-produit The Bravest Man in the World – le grand succès critique de Bobby Womack -, Damon Albarn, qui ne se trouve jamais où on l’attend, est également l’auteur de deux opéras : Monkey : Journey to the West et Dr. Dee. Aujourd’hui, c’est la Salle Pleyel qu’il choisit pour interpréter les titres de son premier album solo, Everyday Robots.

Jeudi 10 juillet : Eels

Groupe de rock issu de Los Angeles, dont le seul Novocaine for the Soul a suffi à le ranger parmi les meilleures formations alternatives des années 90, Eels nous fait l’honneur d’une halte parisienne à la Salle Pleyel, où seront joués les titres d’un nouvel album passionnant, à paraître en avril 2014 : The Cautionary Tales of Mark Oliver Everett.


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