The Grandmaster

/ Cinéma


Évènement passé

Sortie dans les salles françaises le 17 avril 2013 – Hong-Kong / Chine / France – 2h10

Depuis 2046 en 2004, et My Blueberry Nights en 2007, on attendait le retour de Wong Kar-Wai…

Chine, 1936. Ip Man (Tony Leung), maître légendaire de Wing Chun (un des divers styles de kung-fu) et futur mentor de Bruce Lee, mène une vie prospère à Foshan où il partage son temps entre sa famille et les arts-martiaux. C’est à ce moment que le Grand-maître Baosen, à la tête de l’Ordre des Arts Martiaux Chinois, cherche son successeur. Pour sa cérémonie d’adieux, il se rend à Foshan, avec sa fille Gong Er (Zhang Ziyi), elle-même maître du style Ba Gua et la seule à connaître la figure mortelle des 64 mains. Lors de cette cérémonie, Ip Man affronte les grand maîtres du Sud et fait alors la connaissance de Gong Er en qui il trouve son égal. Très vite l’admiration laisse place au désir et dévoile une histoire d’amour impossible. Peu de temps après, le Grand-maître Baosen est assassiné par l’un de ses disciples, puis, entre 1937 et 1945, l’occupation japonaise plonge le pays dans le chaos. Divisions et complots naissent alors au sein des différentes écoles d’arts martiaux, poussant Ip Man et Gong Er à prendre des décisions qui changeront leur vie à jamais…

>>> Quelques critiques:

Marianne: « une fois encore la beauté, la beauté pure est au rendez-vous.  »

Transfuge: « Wong Kar-Wai revient avec sa patte raffinée et élégiaque pour un grand film de kung-fu – mais du kung-fu contemplatif et mélancolique. Histoire de la Chine, histoire d’amour, The Grandmaster est aussi une recherche du temps perdu déguisée en film d’arts martiaux. »

EastAsia: « Après quelques années d’attente, The Grandmaster, le nouveau Wong Kar-wai se dévoile enfin. Le résultat est un film complexe, enivrant, souvent splendide, mais dont la teneur paradoxale et méandreuse laisse cependant l’étrange impression d’avoir assisté à la fois à un grand film et à une œuvre ratée. »

Cahiers du Cinéma: « Pas un plan de « The Grandmaster » dont l’image ne soit marquetée à l’extrême – dans ses teintes ocres, ses noirs profonds, ses lumières papillotantes qui font jaillir le temps hors de lui-même – ni pensée comme une extase esthétique. »

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