Sale temps à l’hôtel El Royale

/ Cinéma

Sortie dans les salles françaises le 7 novembre 2018 – Etats-Unis – 2h22

Janvier 1969. Alors que Richard Nixon entame son mandat comme 37e président des États-Unis, une nouvelle décennie se profile. À l’hôtel l’El Royale, un établissement autrefois luxueux désormais aussi fatigué que ses clients, sept âmes aussi perdues les unes que les autres débarquent.

Situé sur la frontière entre la Californie et le Nevada, l’El Royale promet la chaleur et la lumière du soleil à l’ouest, et l’espoir et les opportunités à l’est. Il incarne parfaitement le choc entre passé et présent. Autrefois, célébrités et personnalités politiques influentes s’y côtoyaient, au casino, au bar, à la piscine ou dans les suites somptueuses. Mais l’âge d’or du Royale est bel et bien révolu.

Dans cet hôtel oublié des riches et des puissants depuis longtemps, un prêtre, une chanteuse de soul, un voyageur de commerce, une hippie et sa sœur, un homme énigmatique, et le gérant de l’hôtel vont se retrouver par hasard… ou pas. Au cours d’une nuit comme seul le destin sait les orchestrer, tous auront une dernière chance de se racheter, avant que l’enfer ne se déchaîne…

 

>>> Quelques critiques

A Voir à Lire : « Les rêves brisés de l’Amérique se cristallisent dans ce thriller qui pourrait bien être l’un des pires brûlots que Donald Trump ait jamais subi depuis son investiture. »

CultureBox : « Tarantino vous manque ? Drew Goddard est candidat à la relève ! Pour son deuxième long-métrage, le réalisateur a voulu frapper fort avec un thriller d’une violence assumée et d’une originalité surprenante. »

Le Parisien : « Des idées insolites comme celle-ci, cet ovni cinématographique en regorge de la première à la dernière image, au rythme d’une bande-son millésimée qui rend hommage à la musique soul des années 1960 et 1970. »

Télérama : « Dans une atmosphère qui mêle hommage au film noir, violence et comédie, le réalisateur Drew Goddard mène la partie avec un talent un peu ostentatoire. Il donne parfois l’impression de s’appliquer, avec une patience un peu complaisante. Mais la durée excessive de ce petit polar lui permet aussi d’y caser de vrais plaisirs de cinéma. »

 

>>> Les séances

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