Le Pape François

Le Pape François – Sortie dans les salles françaises le 28 septembre 2016 – Argentine / Espagne – 1h44

Qui se cache derrière le Pape François ?
Ana, jeune journaliste espagnole, est envoyée au Vatican pour couvrir le conclave de 2005. Elle fait alors la connaissance du Cardinal Jorge Mario Bergoglio, évêque de Buenos Aires, méconnu du grand public et outsider de l’élection.

Se liant d’amitié, elle apprend à mieux connaitre la vie d’un homme humble et atypique qui a voué sa vie aux luttes contre la dictature, la pauvreté, la drogue, l’esclavagisme moderne.

Elle découvre petit à petit le parcours incroyable, depuis son enfance jusqu’à son élection de 2013, de celui qu’on appelle désormais le Pape François.

Quelques critiques :

Télérama : « Pas une hagiographie. Enfin si, tout de même : on a droit à quelques visages extasiés et à des sourires béats devant la bonté du futur pape… Mais le réalisateur, qui slalome habilement entre les flash-back du scénario, parvient à créer une tension romanesque (lorsque le jeune Jorge s’éprend d’une belle brune qui danse le tango) et même un léger suspense (lorsque le prêtre sauve des griffes de la dictature un pauvre gars). Autre moment réussi : l’élection inattendue de mars 2013. Si inattendue qu’on voit un cardinal, tout droit sorti d’Habemus papam, de Nanni Moretti, chuchoter à un confrère « Certains vont vite regretter d’avoir voté pour lui… » On aime, aussi, quelques formules insolentes :« Savez-vous comment les Argentins se suicident ? En se jetant sur leur ego. » Bref, un petit film tout à fait estimable. »

La Croix : « Le film se rend accessible à un large public, apte – comme le Pape François – à toucher par son discours et ses actes bien au-delà de la seule famille catholique romaine. »

Le Monde : « Ce biopic présente le chef des catholiques comme un ami des pauvres et des parias, pourfendeur des injustices, méprisant les richesses et les honneurs. Rien moins, en somme, qu’une réincarnation du Christ. »

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