Glory

/ Cinéma


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Glory – Sortie dans les salles françaises le 19 avril 2017 – Bulgarie / Grèce – 1h41

Tsanko, un cantonnier d’une cinquantaine d’années, trouve des billets de banque sur la voie ferrée qu’il est chargé d’entretenir.

Plutôt que de les garder, l’honnête homme préfère les rendre à l’Etat qui en signe de reconnaissance organise une cérémonie en son honneur et lui offre une montre… qui ne fonctionne pas.

Tsanko n’a qu’une envie : récupérer la vieille montre de famille qu’on ne lui a pas rendue.

Commence alors une lutte absurde avec le Ministère des Transports et son service de relations publiques mené par la redoutable Julia Staikova pour retrouver l’objet.

Le film a reçu de nombreux prix à travers le monde !

>>> Quelques critiques : 

Transfuge : « Glory est un merveilleux film à l’ancienne, qui tire en douceur, sans effets de manche, sa force très puissante de son récit linéaire, de sa manière de semer sur le chemin de son héros des obstacles toujours plus extraordinaires qui révèlent les liens de compromission de l’état avec la mafia locale. »

Le Nouvel Observateur : « Glory » dépeint une société bulgare au bord de l’implosion avec, d’un côté, une classe pauvre et une bureaucratie héritées de l’ère communiste, et de l’autre, un individualisme petit-bourgeois et un système politico-médiatique issus du libéralisme sauvage. Grinçante, la fable manque un peu de nerf, mais pas de mordant. »

Télérama : « Un épatant drame bulgare, absurde et noir » / « Les deux Bulgares ont l’humour rosse et le vitriol particulièrement efficace. Ils ont, visiblement, des comptes à régler avec leur pays, héritier d’une longue histoire de passivité (…). Mais leur propos dépasse la Bulgarie : c’est le récit logique et fatal d’un cave qui, soudain, se rebiffe. D’un mouton enragé. »

Libération : « Quelle qu’en soit son indéniable singularité, il y aurait toutefois quelque chose d’injuste à réduire la pertinence de « Glory » à son particularisme géographique tant, au demeurant, la parabole sociale revêt intrinsèquement une dimension quasi universelle. »

A Voir à Lire : « Un drame absurde et grave, tantôt drôle et effrayant, qui n’occulte rien de la corruption qui règne dans les démocraties d’Europe de l’Est. »

Les Fiches du Cinéma : « Après “The Lesson”, Kristina Grozeva et Petar Valchanov reviennent en force avec une nouvelle parabole à l’ironie mordante, qui prend des allures de manifeste anticorruption. »

>>> Pour trouver votre séance à Paris et dans les environs, c’est ici


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