Eka et natia, chronique d’une jeunesse géorgienne

/ Cinéma


Évènement passé

Sortie dans les salles françaises le 27 novembre 2013 – Géorgie – 1h42

Inséparables, Eka et Natia vivent à Tbilissi, en Géorgie, au lendemain de l’effondrement de l’Union soviétique.
À 14 ans, elles vivent le quotidien des jeunes filles de leur âge, dans la rue, à l’école, avec les amis ou la famille.
Confrontées à la domination des hommes, elles luttent pour leur liberté avec l’énergie et la force de la jeunesse.

Le scénario de Eka & Natia, chronique d’une jeunesse géorgienne est basé essentiellement sur les souvenirs de la coréalisatrice. Nana Ekvtimishvili et Simon Groß ont collaboré avec le directeur de la photographie Oleg Mutu, qui travaille régulièrement avec Cristian Mungiu et Sergei Loznitsa. Le film est une plongée dans le passé au coeur d’un pays meurtri.

Festivals
Prix CICAE – 63ème festival international du film de Berlin
Prix FIPRESCI et Meilleur Film – Hong Kong
Prix du magazine Grazia – Paris Cinéma
Représente la Géorgie aux Oscars
Nominé pour : Meilleur Film, Meilleures Actrices (Lika Babluani et Mariam Bokeria) et Prix CICAE – Sarajevo | Meilleur Film – Wiesbaden | Meilleurs Réalisateurs et Meilleure Actrice (Lika Babluani) Art film festival – Slovaquie | Grand Prix – festival Voices de Vologda (jury présidé par Béla Tarr) | Meilleures Actrices (Lika Babluani et Mariam Bokeria) – Odessa | Prix du Public et Prix du Jury Étudiant – Milan | Meilleur Film – Eurasia Almaty (jury présidé par Jane Campion) | Sélection “ 10 réalisateurs à suivre ” de Variety | Sélection “ 10 films pour le Prix Lux ” à Karlovy Vary

>>> Quelques critiques:

Libération: « Une image somptueuse, signée Oleg Mutu, et surtout deux merveilles d’actrices débutantes recrutées à Tbilissi : Lika Babluani (Eta) et Mariam Bokeria (Natia). Leur grâce est d’être belles et rebelles, comme si de rien n’était.  »

Cahiers du Cinéma: « Il serait dommage de passer à côté de ce premier long métrage géorgien, inabouti mais prometteur. »

Télérama: « Cette chronique fourmille de détails vrais, apportés par la scénariste Nana Ekvtimishvili (coréalisatrice avec Simon Gros), qui s’inspire de ses propres souvenirs. Mais la minutie de l’observation finit par limiter le registre du film : juste, sensible, et pourtant un peu trop appliqué pour donner au destin des deux héroïnes une véritable ampleur.  »

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